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L'agenda - Page 4

  • COLLOQUE : LOGEMENT ET VULNÉRABILITÉ

     

    UNIVERSITÉ DE BRETAGNE OCCIDENTALE
    10 octobre 2014

     

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    Le colloque traite de la question de la vulnérabilité et du logement.

    Le logement constitue une préoccupation majeure et sensible et par conséquent, une thématique où les situations de vulnérabilité sont nombreuses et diverses. Il s’agit également d’un thème sous les feux de l’actualité législative compte tenu de la loi pour l’accès au logement et un urbanisme rénové. C’est enfin une question sociétale en pleine mutation pour répondre aux besoins des futures générations, des plus jeunes aux plus âgées.

    L’objectif du colloque est de réunir les enseignants-chercheurs et professionnels travaillant sur ces thématiques et de les inviter à réfléchir sur la pertinence des moyens mis en œuvre pour prévenir ou remédier aux situations de vulnérabilité liées à la question du logement. 

     

    POUR TÉLÉCHARGER LE PROGRAMME COMPLET DU COLLOQUE :

    PROGRAMME.PDF

     

    POUR S'INSCRIRE : 

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    Comité Organisateur du colloque :

    Dorothée Guérin (dorothee.guerin@univ-brest.fr
    François-Xavier Roux-Demare (françois-Xavier.rouxdemare@univ-brest.fr)
     
  • LE MANDAT DE PROTECTION FUTURE - Journée d'étude

    Journée d'étude

    Le mandat de protection future :
    difficultés pratiques

     

    VENDREDI 20 JUIN 2014

    Amphi 123

     

    UFR Droit, Sciences Economiques et AES

    12, rue de Kergoat—CS 93 837

    29 838 BREST Cedex 3

     

     

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    Matinée : Présidence des débats: Madame Muriel Rebourg, Professeur de Droit privé, Directrice du CRDP (EA 3881)

     

    8 h 30 : Accueil des participants

    9 h 00 : ouverture

     

    Première partie : L’élaboration du mandat de protection future

     

    I. La place du mandat de protection future dans les dispositifs juridiques de protection

     

    9 h 10 réflexion sur la nature du mandat de protection future

    Monsieur Éric Durafour, Juge des tutelles de Morlaix, Vice président du TGI Brest

     

    9h 40 Mandat de protection future et principe de subsidiarité

    Monsieur Raoul-Cormeil, HDR, Maître de Conférences HDR, de Droit privé, Université de Caen (CRDP EA 967)

     

    10 h 10 Discussion

     

    - Pause -

     

    II. La détermination du contenu du mandat de protection future

     

    10 h 40 La détermination des actes prévus au mandat : entre liberté et encadrement

    Monsieur Jérôme Leprovaux, Maître de conférences HDR, de Droit privé, Université de Caen (CRDP EA 967)

     

    11 h 10  Table Ronde

    • Le point de vue du Notaire - Maître Leray, Notaire à Quimper
    • Le point de vue de l’Avocat - Maître Guyomarc’h, Avocat au barreau de Brest

     

    11 h 45 Discussion

     

     

    Après-midi : Présidence des débats : Monsieur François-Xavier Roux-Demare, Maître de conférences de droit privé, Université de Brest (EA 3881)

     

     

    Deuxième partie : la mise en œuvre du mandat de protection future

     

    I. Le moment de mise en œuvre du mandat de protection future

     

     

    14 h 10 La question de l’écoulement du temps, source de difficultés

     

    Anthony Quéguineur, ATER, Université de Brest, (EA 3881)

     

    14 h 40 Les formalités de mise en œuvre : l’insuffisance des garanties légales

     

    Marguerite Jourdain, Maître de Conférences de Droit privé, Université de Brest (CRDP, EA 3881)

     

    15 h 00 Discussion

     

    - Pause -

     

    II. L’exécution du mandat de protection future

     

    15 h 20 L’office du juge des tutelles, juge du contentieux né de l’exécution du mandat de protection future

     

    Pierre-Olivier Danino, Vice président du tribunal de Lorient

     

    15 h 40 Le contrôle de la mission du mandataire

     

    · Le point de vue d’un MJPM - Monsieur Joncour, Association tutélaire du Ponant

     

    · Le point de vue d’un notaire – Maître L‘Haridon, Notaire à Plogastel-Saint-Germain

     

    · Le point de vue d’un avocat - Maître Guyomarc’h, Avocat au barreau de Brest

     

    16 h 15 Discussion

     

    - Pause -

     

    16 h 30 Cocktail

     

     

     

    Le mandat de protection future :

     

    Difficultés pratiques

    La loi du  5 mars 2007 portant réforme de la protection juridique des majeurs a instauré en droit français le mandat de Protection Future. En alternative aux mesures judiciaires de protection, ce mandat est un contrat permettant à toute personne majeure d’organiser de manière anticipée sa propre protection au cas où elle ne plus en mesure de pourvoir seule à ses intérêts en prévision d’une éventuelle inaptitude future.

     

    Le contentieux relatif au mandat de protection future est encore naissant, d’autant que leur nombre reste faible. La Jurisprudence sur ce thème a pu mettre en exergue l’articulation délicate du mandat de protection future avec l’ouverture d’une mesure de protection judiciaire. Le recours tardif au mandat protecteur ou encore son établissement alors qu’une mesure judiciaire a déjà été prononcée compromette sévèrement l’application du principe de subsidiarité, un des piliers de la réforme tutélaire de 2007.

     

    S’agit-il d’un constat d’échec ? Peut-on parler de difficultés pratiques ? Cet état des lieux interroge surtout sur l’avenir du mandat de protection future.

     

    Cette journée d’étude à pour objet de réunir des universitaires et des praticiens pour mieux comprendre les circonstances de ces difficultés pratiques. Elle aura pour objectif de formuler des réponses appropriées ..pour y remédier et renforcer ce dispositif.

     

    Contact et renseignements :

    UFR Droit, Sciences Economiques et AES

    Laboratoire CRDP

    Véronique ZIEGLER—Anne DENIEL

    12, rue de Kergoat—CS 93 837

    29838 BREST Cedex 3

    02 98 01 83 69—73 67

    crdp@univ-brest.fr

     

  • LES PRINCIPES DE LA JUSTICE TRANSITIONNELLE - Université d'été

    Université d’été
    de l’Association Francophone
    de Justice Transitionnelle

    Les principes
    de la Justice transitionnelle

    Saint-Étienne-de-Baïgorry - Baigorri (Pays basque)

    28 juillet – 2 août 2014

     

    Association Francophone
    de Justice Transitionnelle

    L'université d’été est organisée par l’AFJT. Créée en décembre 2013 par les Professeurs Jean-Pierre Massias (UPPA) et Xavier Philippe (Université d’Aix-Marseille), cette association regroupe au sein de son conseil scientifique des spécialistes reconnus de la Justice transitionnelle dont notamment les universitaires Sévane Garibian (Université de Genève), Pierre Hazan (Université de Genève) et Fabrice Hourquebie (Université Bordeaux IV) et les magistrats Antoine Garapon et Louis Joinet. Ce dernier est en outre le Président d’honneur de l’AFJT.

    L’AFJT a pour objet de :

    – favoriser le développement de la recherche et de l’enseignement en matière de Justice transitionnelle, notamment par l’organisation de journées d’études et d’universités d’été ;

    – diffuser les connaissances afférentes à la Justice transitionnelle, notamment par le biais de publications – telles que l’Annuaire de Justice transitionnelle – qu’elle préparera et qui seront éditées par l’Institut Universitaire Varenne, dans le cadre de la « Collection Transition & Justice », conformément à la convention passée entre les deux Associations ;

    – soutenir l’échange d’expériences et d’analyses entre les spécialistes de Justice transitionnelle, quels que soient leurs champs disciplinaires ;

    – promouvoir la Justice transitionnelle, en tant que concept et au travers de ces différents mécanismes et expérimentations, auprès de l’ensemble des pouvoirs publics, qu’ils soient locaux, nationaux, régionaux ou internationaux.

    L a Justice transitionnelle doit permettre à une société de faire face à la commission de violations massives des droits de l’Homme, généralement – mais pas exclusivement – lors d’un conflit ou sous un régime autoritaire. Eu égard à leur gravité et à leur caractère systématique, mais également au contexte dans lequel elles ont été commises et à leurs implications, le traitement de ces exactions constitue un paradoxe. Tout en excluant le recours aux voies de droit ordinaires, il présente en effet des enjeux spécifiques, en devant collaborer à la réconciliation et à la non-récurrence des violations. Ce paradoxe explique pour une large part la diversité des structures chargées de la Justice transitionnelle. Par-delà cette nécessaire hétérogénéité, des principes ont dû être érigés afin que la Justice transitionnelle remplisse son office et interdise l’impunité et l’amnésie. Elle est donc aujourd’hui fondée sur quatre droits intangibles que sont le droit de savoir, le droit à la justice, le droit à la réparation et le droit aux garanties de non-répétition.

    Essentiels en pratique, ces quatre principes sont également fondamentaux pour la compréhension et l’analyse des mécanismes de Justice transitionnelle. C’est pourquoi ils formeront le cœur de la première université d’été de l’AFJT.

    Après une première journée menée autour des concepts de transition démocratique et de Justice transitionnelle, les quatre journées suivantes seront donc respectivement consacrées à la vérité, aux réparations, aux sanctions et enfin à la non-récurrence. Chacune de ces journées sera découpée en deux temps, la matinée devant permettre aux participants de saisir le sens, la portée et les enjeux du concept étudié, l’après-midi de mieux en appréhender les contours par une mise en situation, qui constituera le fil rouge de l’université d’été.

    Au regard des spécificités de la Justice transitionnelle, les organisateurs ont choisi d’associer aux universitaires des praticiens (avocat, magistrat et médecin), mais également d’entrecroiser les disciplines en mêlant au Droit, la science politique, l’histoire et les questions de psychiatrie et de psychologie. L’objectif de cette démarche est en effet d’offrir aux étudiants l’opportunité de rencontrer des acteurs à même de leur apporter des regards complémentaires et de partager avec eux des expériences variées.

    Les soirées seront l’occasion de poursuivre ces échanges autour de la projection de films et de documentaires et de débats.

     

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    Université d’été

    Les principes de la Justice Transitionnelle

    Le programme de l’université d’été

     

    DIMANCHE 7 JUILLET

    Transfert des participants de l’aéroport de Biarritz ou de la gare de Bayonne
    au Domaine Oronozia

    Présentation de l’université d’été par le comité scientifique et pédagogique

    Cocktail d’accueil

     

    LUNDI 28 JUILLET

    Matinée – La transition démocratique et la Justice transitionnelle

    – Jean-Pierre Massias, Professeur de droit public à l’Université de Pau et des Pays de l’Adour

    – Xavier Philippe, Professeur de droit public à l’Université Aix-Marseille

    Après-midi – Mise en situation : résolution en équipe
    d’un cas pratique

    Soirée thématique – Torture : bourreaux et victimes

    Projection d’un film et débat

     

    MARDI 29 JUILLET

    Matinée – La vérité

    – Représentants du Pôle « génocide et crimes contre l’humanité » du TGI de Paris

    – Claire Mestre, psychiatre et anthropologue, spécialiste de médecine transculturelle et co-fondatrice de l’association Mana, membre du réseau francophone de soins et d’accompagnement pour les exilés victimes de torture et de violence politique

    Après-midi – Mise en situation : résolution en équipe
    d’un cas pratique

    Soirée thématique – Rwanda, vingt ans après le génocide

    Projection d’un film et débat

     

    MERCREDI 30 JUILLET

    Matinée – Les réparations

    – Natacha Fauveau-Ivanovic, Avocate spécialiste du droit pénal international, conseil dans les affaires pénales internationales devant la CPI et les TPIY et TPIR

    – François-Xavier Nsanzuwera, Ancien Procureur de Kigali, spécialiste du génocide commis contre les Tutsi au Rwanda et acteur de la réconciliation

    – Laure de Vulpian, journaliste à France culture. Spécialiste du Rwanda, elle a couvert de nombreux procès de génocidaires en Belgique et en France. Elle est également l’auteur de Silence Turquoise - Rwanda 1992-1994, Responsabilités de l’Etat français dans le génocide des Tutsi

    Après-midi – Mise en situation : résolution en équipe
    d’un cas pratique

    Soirée thématique – Pays basque : vers la fin de la violence ?

    Projection d’un film et débat

     

    JEUDI 31 JUILLET

    Matinée – Les sanctions

    – Pascal Plas, Professeur d’histoire à l’Université de Limoges, Président de la Chaire d’excellence « Gestion des conflits et de l’après-conflit »

    – Denis Salas, magistrat et secrétaire général de l’Association française pour l’histoire de la Justice. Essayiste, il est notamment l’auteur de La justice dévoyée : critique des utopies sécuritaires, La volonté de punir - essai sur le populisme pénal et La Justice de l’épuration.

    Après-midi – La non-récurrence

    – Jean-Pierre Massias, Professeur de droit public à l’Université de Pau et des Pays de l’Adour

    – Xavier Philippe, Professeur de droit public à l’Université Aix-Marseille

    – Restitution de leurs travaux par les étudiants

    Soirée thématique – Vérité et Réconciliation en Afrique du Sud

    Projection d’un film et débat

     

    VENDREDI 1er AOUT

    Journée à San Sebastian - Donosti

    Matinée – Cérémonie de clôture organisée en partenariat
    avec la Diputación Foral de Gipuzkoa

    – Départ à San Sebastian - Donosti

    – Remise des certificats de participation

    – Conférence de clôture

    – Cocktail

    Déjeuner et Après-midi libres à San Sebastian - Donosti

    – Visite du Musée de la Paix de Guernica (à confirmer)

    Retour à Saint-Étienne-de-Baïgorry - Baigorri

    Soirée de clôture autour de la culture et de la langue basque

     

    SAMEDI 2 AOUT

    Petit-Déjeuner

    Transfert des participants à l’aéroport de Biarritz ou à la gare de Bayonne

     

    Modalités d’inscription

    Le nombre de places disponibles est limité à 25.

    Les étudiants francophones de Licence 3 ou de Master en droit et/ou en sciences politiques peuvent déposer un dossier de candidature pour participer à l’université d’été.

    Dossier de candidature : tout dossier doit comprendre un CV et une lettre de motivation rédigés en français, exclusivement sous format .pdf, .doc ou .docx.

    Dépôt du dossier de candidature : le dossier est à envoyer, jusqu’au 15 juin 2014 inclus, à l’adresse : asso.justice.transitionnelle@gmail.com

    Les candidats seront sélectionnés sur dossier par le bureau de l’AFJT. Les résultats de la sélection seront communiqués avant le 30 juin.

    Renseignements pratiques

    Les frais d’inscription sont de 150 €.

    Ils comprennent :

    – le transfert aller-retour de la gare de Bayonne ou de l’aéroport de Biarritz au lieu de l’université d’été, à l’horaire qui sera indiqué aux participants, le 27 juillet et le 2 août ;

    – l’hébergement en chambre de deux ou trois personnes, au Domaine Oronozia du 27 juillet au 2 août (6 nuitées) ;

    – les repas : du dîner du 27 juillet au petit-déjeuner du 2 août à l’exception du déjeuner du 1er août (six petits-déjeuners, quatre déjeuners et six dîners) ;

    – les soirées et la journée de clôture organisée à San Sebastian - Donosti le 1er août.

    Lieu de l’université d’été

    Hormis la journée à San Sebastian, les travaux de l’université d’été se dérouleront au Domaine Oronozia situé dans le village basque de Saint-Étienne-de-Baïgorry - Baigorri.

  • La juridictionnalisation de l'enquête pénale

    L’Université de Bordeaux et l’Ecole nationale de la magistrature (ENM) organisent conjointement un colloque intitulé "La juridictionnalisation de l’enquête pénale" le 30 avril 2014 à Bordeaux.

     

    Ouverture par M. Jean-Christophe SAINT-PAU, professeur à l'Université de Bordeaux, directeur de l'ISCJ; M. Xavier RONSIN, magistrat, directeur de l'ENM; M. Olivier DECIMA, professeur à l'Université de Bordeaux

     

    Matinée : les sources de la juridictionnalisation
    sous la présidence de M. Patrice Davost, procureur général honoraire

    • La Cour européenne des droits de l’Homme et la juridictionnalisation de l’enquête par Mme Evelyne Bonis-Garçon, professeur à l'Université de Bordeaux
    • L’Union européenne et la juridictionnalisation de l’enquête par M. François-Xavier Roux-Demare, maître de conférences à l'Université de Brest
    • Le Conseil constitutionnel et la juridictionnalisation de l’enquête par M. Antoine Botton, professeur à l'Université de Toulouse

    • Table ronde : Modérateur : M. Djamil Kheireddine, magistrat ; intervenants : M. Pierre Vallée, président de chambre de l’instruction, M. Patrice Camberou, procureur de la République, M. Frédéric Chevallier, substitut général.

    Après-midi : Les manifestations de la juridictionnalisation
    sous la présidence de Mme Valérie Malabat, professeur à l'Université de Bordeaux

    • Quelle étendue de la juridictionnalisation ? par Mme Haritini Matsopoulou, professeur à l'Université de Paris-Sud
    • Quel juge pour l’enquête ? par Mme Pauline Le Monnier de Gouville, maître de conférences à l'Université de Paris 2
    • Quelle place pour le ministère public ? par M. François Fourment, professeur à l'Université de Tours
    • Quelle place pour le suspect ? par M. Yannick Capdepon, maître de conférences à l'Université de Bordeaux

    • Table ronde : Modérateur : M. Jérôme Hars, magistrat ; intervenants : M. Claude Mathon, avocat général près la Cour de cassation, Me Daniel Lalanne, avocat au barreau de Bordeaux, Mme Hélène Mornet, magistrate, juge des libertés et de la détention

    Coordinnateur scientifique : olivier.decima@u-bordeaux4.fr

    PROGRAMME PDF prog_colloque_Juridictionnalisation.pdf

  • Bayonne: "Printemps de la Fac", le 7 avril 2011

    C’est le retour du Printemps de la Fac ! Le jeudi 7 avril 2011, sur le thème de L’étranger, à l'UFR Pluridisciplinaire de Bayonne (8, Allée des Platane).

    Comme chaque année, cette manifestation a pour objet d’offrir une vitrine vivante et innovante de l'UFR pluridisciplinaire de Bayonne, de renforcer la visibilité de la recherche universitaire, de valoriser le travail des jeunes chercheurs, de favoriser la créativité et l’implication des étudiants à la vie universitaire.

    Il s’agit de fêter :

    Le renouveau de la recherche :
    La parole est aux jeunes chercheurs qui évaluent la situation des étrangers en Europe à l’aune des droits fondamentaux, qui s’inquiètent du sort des mineurs étrangers isolés ou qui s’interrogent sur le sentiment d’extranéité à partir de l’étude d’œuvres littéraires.
    Leurs réflexions font l’objet de communications orales présentées dans la matinée et soumises à discussion avec le public.

    L’après-midi sera ponctuée par un débat sur « L’étranger et la question sociale » préparé et animé par des doctorants avec la participation des étudiants en licence et en master et de personnalités extérieures.

    Le temps de la réflexion pluridisciplinaire :
    Le thème du Printemps est abordé sous l’angle des différentes disciplines de l’UFR par des enseignants chercheurs qui privilégient une analyse économique, littéraire, philosophique ou juridique du concept de « l’étranger ». Voyages pluridisciplinaires en perspective à travers de libres propos !

    L’expression des talents étudiants :
    La journée laisse libre cours à l’imagination, à la créativité des étudiants. Les talents s’expriment (expositions de photos, théâtre, danse, concerts…). Les initiatives cosmopolites fleurissent (vide-greniers au profit de la Croix-rouge, jeux importés…).Une cinquantaine d’étudiants contribuent matériellement, artistiquement et scientifiquement à la réussite la journée à travers l’animation de divers ateliers (animation, restauration, communication, décoration …) centrés sur « l’étranger ».

    Journée organisée par Michèle Mestrot, maître de conférences en droit privé, en partenariat avec le C.R.O.U.S., le B.U.C., le Microscope et les doctorants Aurélie Garbay, Emilie Darjo, Laura Delgado, Florent Dibos, Marie Garcia, Eneritz Zabaleta.

    Entrée libre et gratuite

  • Etats Généraux du Notariat : communiqué de presse final

    Suite à l'annonce faite sur ce blog de la tenue des Etats Généraux du Notariat ce 28 janvier 2010, je publie aujourd'hui le communiqué de presse du bilan de cette journée, avec l'aimable autorisation de Mme Elodie LARCIS.

    MICHELE ALLIOT - MARIE :

    « une profession unique du droit est illusoire »

     

    Paris, le 29 janvier 2010 - Devant plus de 7200 notaires réunis ce jeudi 28 janvier à Paris au Zénith, Madame Alliot-Marie, Ministre de la Justice et des Libertés a voulu répondre aux inquiétudes exprimées par le notariat à l'occasion de ses Etats généraux. Elle l'a fait dans son discours, mais également en lisant un message adressé aux notaires par le Président de la République.

    Pour la Ministre de la Justice, « proximité, sécurité juridique, accessibilité du droit  sont « les atouts du notariat qui contribuent à la sérénité de notre justice et à la confiance des justiciables ». Cette confiance, a-t-elle dit, « nous oblige à préserver un modèle de droit continental dont vous êtes l'un des piliers. Un modèle que rien ni personne ne remettra en cause tant que j'exercerai les fonctions qui sont les miennes. Cela implique de défendre les intérêts du notariat quand ils sont menacés ». Et pour la Garde des Sceaux qui a fait référence au rapport Darrois, « préserver l'identité du notariat implique de promouvoir le dialogue entre les professions ». Elle a ainsi affirmé « je n'ai nullement l'intention de fusionner les professions, en gommant toute différence entre juristes, au profit d'une illusoire profession unique du droit ».

    Elle a ainsi qualifié « d'équilibré » le projet de loi qu'elle a préparé au cours d'une longue concertation entre représentants du barreau et représentants du notariat et qui prévoit la reconnaissance d'un acte contresigné par avocat. Et la Garde des sceaux a résumé cet équilibre : «les avocats contresignent. Les notaires authentifient. La règle est claire et ne souffrira aucune exception ».

    La Ministre de la Justice a enfin invité les notaires à valoriser les atouts de la profession qu'elle juge « moderne, dynamique et ouverte sur le monde », à conquérir un avenir qui se construira « avec votre passion du droit, votre sens de l'intérêt général et votre amour de la France ».

    Après avoir conclu son propos, Madame Alliot-Marie a lu un message du Président de la République : « L'année qui vient de s'écouler a été une année difficile, votre activité a souffert de la crise » indique-t-il. Saluant le fait que le notariat a « depuis longtemps » pris toute sa part « dans la promotion de notre système juridique », le chef de l'Etat a affirmé que « les professions juridiques française ne peuvent s'offrir le luxe de la division ».  Soulignant que « l'acte authentique est l'un des fondements de notre système de droit », il a indiqué que « il ne revient à personne de le remettre en cause ni de remettre en cause le monopole dont vous disposez. A bien des titres, a-t-il écrit, votre profession est exemplaire. Vous disposez d'un rôle essentiel. Soyez sur de votre force, soyez surs aussi de mon soutien et de ma confiance » concluait ce message du Président de la République.

    Auparavant, le Président du Conseil supérieur du notariat, Jean-Pierre Ferret avait souligné que « les notaires de France ont le sentiment d'une perte de confiance de l'Etat en ses officiers publics ». Un sentiment, qui « s'appuie sur des faits tangibles et répétés » et « est d'autant plus fort que les notaires de France n'ont jamais  manqué de loyauté envers les pouvoirs publics. Vous le savez, le notariat, contrairement à d'autres, n'a jamais appelé à la désobéissance civile »

     Soulignant que ces Etats généraux du notariat avaient pour objectif de « toujours mieux servir leurs clients, le Président du CSN affirmait que : « fort de la confiance renouvelée de l'Etat, le notariat s'engage à poursuivre son adaptation pour toujours répondre avec la même efficacité et sécurité aux attentes des usagers et des pouvoirs publics ». C'est dans cette perspective qu'ont été présentées au cours de la journée les propositions du plan stratégique du notariat : « Projet des notaires de France Horizon 2020 » apportant des réponses concrètes dans le service rendu aux clients (notamment un renforcement du conseil, très attendu par le public), une nouvelle approche dans l'organisation des offices notariaux et des moyens dont ils disposent, par la mutualisation de moyens et de compétences, la mise en œuvre de structures spécialisées et des outils de  pilotage des offices leur permettant une meilleure anticipation. Une volonté exprimée par la signature d'un acte d'avenir par lequel la profession notariale s'engage résolument dans cette voie. Un acte signé devant la Ministre de la Justice sur support électronique.

     

    Contacts presse 

     Agence Hopscotch

    Elsa Pillette Renouard - epillette@hopscotch.fr / 01 58 65 00 30

    Elodie Larcis - elarcis@hopscotch.fr / 01 58 65 00 22

    Conseil supérieur du notariat 

    Nathalie de Saint Blanquat - nathalie.desaintblanquat@notaires.fr / 01 44 90 31 74

  • Etats Généraux du notariat --- 28 janvier 2010

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    Communiqué de presse

    Juridique, notariat, annonce d'événement

     

    Les Etats Généraux du notariat se tiendront le 28 janvier 2010 au Zénith

    et réuniront l'ensemble de la profession

    Une journée de mobilisation et de débats sur les évolutions du notariat

     

    Paris, le  13 janvier 2010 - En présence de Madame Michèle Alliot-Marie, ministre d'Etat, Garde des Sceaux, ministre de la Justice et des Libertés, Maître Jean-Pierre Ferret, président du Conseil supérieur du notariat, réunira l'ensemble des notaires de France pour une journée de mobilisation et de débats sur les évolutions de la profession, garante de la stabilité du système juridique français. Rassemblant près de 6 000 notaires, ces Etats Généraux seront rythmés par plusieurs temps forts, qui mettront également en perspective le rayonnement du modèle notarial français à l'international.

     

     

    Présentation par Roland Cayrol des résultats du baromètre d'image des notaires 2009

     

    Dématérialisation des transferts de données (télé@actes), actes authentiques signés sur support électronique, sont autant d'exemples qui montrent que la modernisation du notariat est déjà une réalité. Ces projets mis en place par le Conseil supérieur du notariat utilisent les nouvelles technologies et répondent aux attentes du grand public et des entreprises en termes d'évolution des services.

     

    Pour prendre la mesure des avancées déjà effectives et évaluer les attentes du public à l'égard des notaires, les résultats du baromètre d'image de la profession réalisé par l'institut CSA (décembre 2009 cible : grand public, artisans, chefs d'entreprise et élus locaux) seront commentés lors de ces Etats Généraux. Des réponses seront apportées dans le cadre du plan stratégique du notariat qui sera dévoilé.

     

     

    Analyse du Professeur Michel Grimaldi  sur l'avant-projet de loi de réforme des professions du droit de la Garde des Sceaux

     

    Michel Grimaldi, Professeur à l'Université Panthéon-Assas (Paris II), présentera une analyse de l'avant-projet de loi de la Garde des Sceaux, visant notamment à la création de « l'acte contresigné par avocat ». Ce projet qui reconnaît le contreseing de l'avocat ne crée pas un troisième type d'acte entre l'acte sous seing privé et l'acte authentique. Innovation juridique, l'acte contresigné reste un acte sous seing privé dans le respect du système juridique de doit continental.

     

     

     

     

     

    Rayonnement international du modèle notarial français

     

    Les Etats Généraux du notariat permettront également de rappeler la réussite de l'exportation du modèle français et des différents partenariats tissés avec de nombreux pays dans le monde.

     

    En effet, depuis une quinzaine d'années, reconnaissant l'institution notariale comme un facteur essentiel d'équilibre dans un État de droit, de nombreux pays se sont attachés à renforcer, voire à créer l'organisation et le fonctionnement de la profession de notaires.

     

    Preuve du rayonnement du modèle notarial français à travers le monde, l'activité internationale du Conseil supérieur du notariat a connu ces dernières années un véritable essor.

    L'action prioritaire repose sur la constitution et la formation d'un réseau de notaires moderne et efficace dans les pays concernés.

    En Chine, par exemple, le Conseil supérieur du notariat a tissé depuis de nombreuses années des liens forts avec les autorités qui ont conduit à des évolutions législatives et à la création de la fonction notariale. A l'initiative du Conseil supérieur du notariat, un centre de formation et d'échanges notariaux et juridiques a été ouvert dès 2001 à Shanghai, avec le soutien actif des ministères français des Affaires Etrangères et de la Justice, ainsi qu'avec celui de la Caisse des Dépôts et Consignations.

     

    Assurer la promotion concertée du droit continental, veiller au renforcement des systèmes juridiques dans les pays en développement, sont également des illustrations concrètes du rôle prépondérant du modèle notarial français dans le monde.

    Ainsi, au Vietnam et dans plusieurs pays africains, l'action du notariat français vise à assurer la délivrance de titres de propriété et à mettre en œuvre des procédures renforcant la sécurité foncière, la modernisation et le développement de l'activité agricole.

     

     

     

     

    Le notariat français en quelques chiffres

    Chaque année, les notaires reçoivent 20 millions de personnes, traitent des capitaux d'un montant de 600 milliards d'euros, établissent 4 millions d'actes authentiques et réalisent un chiffre d'affaires de 6 milliards d'euros. Véritables acteurs de la vie économique française, les 8 901 notaires répartis sur l'ensemble du territoire en 4 533 offices emploient près de 50 000 salariés (chiffres au 1er juin 2009).

     

     

    Contacts presse 

     

    Agence Hopscotch

    Elsa Pillette Renouard - epillette@hopscotch.fr / 01 58 65 00 30

    Elodie Larcis - elarcis@hopscotch.fr / 01 58 65 00 22

    Conseil supérieur du notariat 

    Nathalie de Saint Blanquat - nathalie.desaintblanquat@notaires.fr / 01 44 90 31 74

  • COLLOQUE : L'exception d'inconstitutionnalité : un nouvel outil de procédure

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    Vendredi 27 novembre
    de 14h00 à 17h15

    Conférence organisée par le Centre de Droit Constitutionnel et l'Institut d'Etudes Judiciaires

     

    Amphi Huvelin
    15 Quai Claude Bernard 69007 Lyon

    Conférence validée dans le cadre de la formation continue obligatoire des avocats pour une durée de 3 heures

     

     

     

     

     « Lorsque, à l'occasion d'une instance en cours devant une juridiction, il est soutenu qu'une disposition législative porte atteinte aux droits et libertés que la Constitution garantit, le Conseil constitutionnel peut être saisi de cette question sur renvoi du Conseil d'État ou de la Cour de cassation qui se prononce dans un délai déterminé. (…) Une disposition déclarée inconstitutionnelle [sur ce fondement] est abrogée »

     

    Le nouvel article 61-1 de la Constitution donne un nouvel outil de procédure à l’avocat. Cette « révolution juridictionnelle » affecte toutes les branches du droit : le droit pénal, le droit civil, le droit social, le droit commercial, le droit des affaires, le droit fiscal et le droit administratif.

    Quelle forme devra prendre cette question « préjudicielle » de constitutionnalité ? Comment la présenter devant le juge judiciaire ou le juge administratif ? Quelles seront les modalités et les conséquences de l’examen de cette question par le Conseil Constitutionnel ?

    La demi-journée de formation, organisée le vendredi 27 novembre et assurée par des professionnels du droit, a pour objet de répondre à toutes ces questions 

     

    L’EXCEPTION D’INCONSTITTUTIONNALITE :

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    UN NOUVEL OUTIL DE PROCEDURE

    Vendredi 27 novembre 2009, Amphithéâtre Huvelin

     

    14 h : Accueil : Monsieur Hugues FULCHIRON, Président de l’Université Jean Moulin  Lyon 3
                              Monsieur Franck MARMOZ, Directeur de l'IEJ

    14 h 15 : Propos introductif : une réforme nécessaire mais longtemps attendue :  Monsieur François ROBBE, Maître de conférences en droit public, Directeur du Centre de Droit Constitutionnel, Avocat aux Barreaux de Lyon et Villefranche-sur-Saône

    14 h 45 : L’exception d’inconstitutionnalité devant le Juge administratif : Monsieur Daniel CHABANOL, Conseiller d’Etat honoraire

    15 h 15 : L’exception d’inconstitutionnalité devant le juge judiciaire : Monsieur Jean TROTEL,  Premier Président de la Cour d’Appel de Lyon  

    15 h 45 : Débat

     16 h 00 : Pause

    16 h 15 : L’exception d’inconstitutionnalité devant le Conseil constitutionnel : Monsieur Régis FRAISSE, Président de Tribunal Administratif, Directeur du service juridique du Conseil constitutionnel

     16 h 45 : L’exception d’inconstitutionnalité en droit comparé : Mme Frédérique FERRAND, Professeur à l’Université Jean Moulin Lyon 3, Directrice de l’Institut de Droit Comparé Edouard LAMBERT

     17 h 15 : Clôture des travaux 

    Responsables scientifiques :
    François ROBBE  
    robbe.francois@neuf.fr
    Mathilde PHILIP-GAY 
    m.philip-gay@laposte.net
    Franck MARMOZ
    fmarmoz@yahoo.fr

    Organisation :
    François-Xavier ROUX-DEMARE
    francois-xavier.roux-demare@univ-lyon3.fr
    Alexandra GASMI
    alexandra.gasmi@univ-lyon3.fr
    Jean-François KERLEO
    kerleoj@yahoo.fr

    Secrétariat :
    Valérie MARCELLIER
    iej-adm@univ-lyon3.fr  (Tel : 04.78.78.73.53)

     

     PLAQUETTE D'INFORMATION  ---------------->>>>> PLAQUETTE IEJ.pdf 
    BULLETIN D'INSCRIPTION ----------------------->>>>>   BULLETIN D'INSCRIPTION.pdf

     

     

     

     

  • COLLOQUE --- Aspects de la responsabilité bancaire

     

    Mercredi 28 octobre 2009 de 16h00 a 20h00

    UNIVERSITE JEAN MOULIN LYON 3

    Amphi Huvelin –15 quai Claude Bernard –69 007 Lyon

     

    16 h 00 Accueil des participants

     

    16 h 30

    La responsabilité du banquier en matière de placements financiers

    Maitre Julien MARTINET,

    Avocat, Cabinet Kramer Levin

     

    17 h 00

    La responsabilité du banquier prêteur de deniers

    Monsieur Franck MARMOZ

     

    ,

    Maître de conférences

    17 h 30 Débat avec le public et pause

     

    18 h 00

    La responsabilité du banquier en matière de sûretés

    Monsieur Nicolas BORGA,

    Maître de conférences

     

    18 h30

    La responsabilité du banquier et la lutte contre le blanchiment

    Madame Anne-Sophie CHAVENT-LECLERE,

    Maître de conférences

    19 h 00 Discussions et Fin des travaux

     

    → Responsable scientifique :

    Franck MARMOZ

     fmarmoz@yahoo.fr

    → Organisation :

    François-Xavier ROUX-DEMARE

     francois-xavier.roux-demare@univ-lyon3.fr

    → Secretariat :

    Valérie MARCELLIER

     iej-adm@univ-lyon3.fr

     

    Conference organisee par l’Institut d’Etudes Judiciaires

    Conference validee dans le cadre de la formation continue obligatoire des avocats

    pour une duree de 2 heures 30

    Plaquette avec bulletin d'inscription pour vous inscrire IEJ .pdf

     

  • Conférence sur la citoyenneté européenne

    La citoyenneté de l’Union européenne, bilan et perspectives

    Centre d'Etudes Juridiques Européennes   ---  Genève

    Prof. Claude Blumann, Genève, le 16 février 2009

    Conférence de Monsieur Claude Blumann, Professeur, Université Panthéon-Assas (Paris II), chaire Jean Monnet de droit européen, directeur du master « Droit de l’Union européenne ».

    La conférence aura lieu à 18h15, à Uni mail dans la salle 5050 (5ème étage), Bd du Pont d’Arve 40, CH-1211 Genève.

    Nous vous serions reconnaissants de bien vouloir annoncer votre participation, par email, à Mme Leslie Morandi (Leslie.Morandi@unige.ch).